Il contient les cellules photoélectriques prévues pour prendre de la couverture nuageuse durant 2 semaines, néanmoins la vacillation sous-estimée a empêché d'avoir des données significatives.
La co-existence de ces deux formes est un exemple de vacillation accentuelle, phénomène fréquent dans la toponymie andorrane et assez spécifique à cette dernière.
Il s'agirait d'un exemple de vacillation accentuelle entre une consonne occlusive bilabiale et une consonne fricative labio-dentale en rapport avec l'origine bascoïde du toponyme.