À leur extrémité la plus fine, les ailettes de stator étaient totalement enveloppées dans des anneaux contenant des joints en labyrinthe sur leur face interne.
Ces moteurs ne possèdent qu'un seul bobinage (en guise de stator), mais n'exigent aucun condensateur, ni starter ; ce qui les rend économiques et fiables.
Le polypseudorotaxane est constitué d'une chaîne de polyéthylène glycol (constituant le stator) complexé par plusieurs cyclodextrines (constituant la partie mobile, le rotor).
Selon la configuration de la machine, le stator peut créer un champ magnétique qui par interaction avec le champ magnétique rotorique produit le couple électromécanique.