Jusqu'en 1954, les soudeurs touchent le boni moyen de l'atelier où ils travaillent, ce qui est logique puisqu'ils interviennent à la demande des autres ouvriers.
Toute une série d'incidents, de malentendus, vont émailler son train-train quotidien dans lequel on le trouve tour à tour chauffeur, serveur, soudeur, etc.