En dépit d'un préjugé répandu, favorisé par les évocations gourmandes ou paillardes, les romans ne relèvent guère de l'épicurisme au sens propre du terme.
Caplan nomme préjugé pro-emploi (make-work bias donc littéralement "création d'emplois artificiels") la "tendance à sous-estimer les avantages économiques de l'absence de plein-emploi".