Ce roman décrit le quotidien pénible, la misère et la profonde mélancolie d'un village isolé et s'éloigne de l'image d’Épinal du moujik exalté et jovial.
Ainsi, avec ce refrain, il a entendu « la voix accablante du peuple », à laquelle il tente à tout prix d'échapper en abandonnant le moujik gelé dans la neige.
Apprendre au moujik à lire pour lui donner la possibilité de lire des petits livres vides de sens qu'éditent pour le peuple les philanthropes européens, ce sont là des bêtises.