Elle pose alors la théière sur le samovar, où les feuilles infusent dans l'eau bouillante : cette préparation est appelée le « zavarka » ou thé concentré.
Interprète, d'une sensibilité lumineuse et d'une cohérence dans l'usage de la perspective, il réussit à infuser l'air et l'atmosphère dans l'espace comme s'ils circulaient librement.