Avec la liberté de pensée qui est un pilier des sociétés démocratiques, l'idée que les États puissent poursuivre comme blasphémateurs les incroyants et les athées n'est plus de mise.
Par suite, la foi et la raison pouvaient être identifiées de sorte que l'incroyant n'était pas capable de raisonner alors que l'homme de foi appliquait une raison parfaite.
Les fidèles doivent donc suivre un enseignement long qui leur donne accès à des niveaux progressifs de connaissance (gnose), celle-ci n'étant pas révélée aux incroyants ou aux simples fidèles.