Les méthodes de travail, selon certains participants (mais pas trop les représentants de la nomenklatura d'époque), sont indignes : complaisance, intimidation, harcèlement, sexisme...
Toutes les démarches quotidiennes, à travers l'arrivée et l'enregistrement des nouveaux prisonniers, le travail forcé, les baraquements, les places d'appel, s'accompagnaient d'humiliations et de harcèlement.
Sa demande est enregistrée par l'administration gouvernementale, qui travaille à l'élaboration d'une nouvelle législation visant à lutter contre le harcèlement au travail.