De plus, le harcèlement des mouvements de guérilla avait fini par lasser une population blanche dont le solde migratoire était devenu négatif depuis 1975.
L'unité, chargée de missions de guerre non conventionnelle (guérilla, contre-guérilla, guerre psychologique etc.) est composée de cadres européens et de supplétifs recrutés localement.
Des troupes républicaines refusaient le combat et pillaient leur propre capitale, alors même que la guérilla progressait dans de nombreuses régions du pays.
Selon les estimations, en 2007, la guérilla est forte de dix mille à vingt mille combattants, auxquels s’ajoutent quarante mille militants assurant la logistique.