La fraude était considérable, les bourgeois, protégés par le conseil municipal (la jurade), vendant une partie de leur vin, à bon marché, aux cabaretiers.
On dénombrait dans la commune : 16 fermiers, 4 cabaretiers, un sabotier, un tonnelier et quelques ouvriers (des piqueurs de grès qui travaillaient dans les sablières).