Les débuts sont difficiles, car la région d'implantation, une lande dénudée, couverte de bruyère et d'ajoncs, peu défrichée, n'offre guère de ressources.
L'ajonc constituait pendant l'hiver l'alimentation de base du cheval, un bidet breton généralement, « petit, endurant, nerveux, particulièrement adapté au terrain accidenté de la montagne ».
La tourbe y fut aussi extraite par les paysans locaux pour leurs besoins de chauffage et la lande fournissait l'ajonc pour les chevaux pendant l'hiver.