Il continue inlassablement à peintre, vendant quelques toiles, mais il est aussi obligé pour faire vivre sa famille d'accepter de petits boulots comme celui d'étalagiste.
La population paraissait ce jour-là fort empressée autour d'un étalagiste qui vendait à la criée quelques ustensiles de ménage, des affliquets de toilette et des jouets.
Échappant à la mobilisation en raison de sa constitution malingre, il enchaîne pendant l'Occupation les petits boulots (étalagiste, cireur et gratteur de parquets…).