Le développement du capitalisme sauvage pousse à des traitements cruels, en particulier lorsque le cheval incapable de travailler est envoyé chez l'équarrisseur.
Les sous-produits d'abattage et de découpe provenant d'animaux sains sont, quant à eux, valorisés dans une filière distincte par des équarrisseurs devenus « industriels des coproduits animaux ».
Selon les pays, les chevaux enlevés par les équarrisseurs sont destinés à l'alimentation animale ou à la transformation pour diverses matières premières (engrais…).
Les victimes de cette zoonose sont essentiellement des vétérinaires, du personnel de centre de primatologie, d'animaleries ou de laboratoires, des équarrisseurs, des personnes travaillant dans les zoos ou les cirques.
Pour les propriétaires désireux d'épargner l'abattoir à leur animal, il convient de prévoir financièrement le coût d'entretien et celui du règlement de l'équarrisseur.