En fait, l'expression « illegal immigrants » est utilisée, selon le quotidien, avec un parti pris conservateur alors que l'expression « undocumented immigrants » suit un parti-pris progressiste.
La deuxième classe, plus hétéroclite, comprend des entrepreneurs, des enseignants, des ecclésiastiques et, parfois, des immigrants aisés, ou de retour dans leur pays d'origine.