Les agencements isolés et statiques des premiers niveaux laissent placent à des mécanismes et des constructions plus ou moins élaborés, dynamiques et précaires.
Certains enchaînements privilégiés forment de véritables méta-images dynamiques, à l’instar des chemins neuronaux à la base du fonctionnement cérébral de plus bas niveau.
Les processeurs d'effets proposent, qu'en à eux, des effets temporels (réverbérations, retards (delay), chorus etc.) ou dynamiques (compresseurs, portes de bruit etc.).