Mais le journaliste regrette que le dispositif, qui privilégie l'observation en multipliant les scènes de voyeurisme, laisse peu de place à l'émotion et à l'empathie.
Il s'agit le plus souvent d'un son aigu, censé exprimer une émotion brute — joie, peur, détresse, agressivité, plaisir, etc. — indépendamment de tout langage.